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Art Paris for you

9 octobre 2012

Laurent Strouk – Robert Combas - Galerie d'Art

Laurent Strouk – Robert Combas - Galerie d'Art
Thème : galerie laurent Strouk – combas Robert Combas est un plasticien et un peintre français né en mai 1957 à Lyon. Dans les années 70, dès son entrée aux beaux-arts, il apporte une esthétique novatrice. Il prend le contre-pied du courant dominant de...
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6 septembre 2012

Gerhard Richter - Panorama

L'exposition «Panorama» que le Centre Pompidou consacre à Gerhard Richter rend hommage à l'une des figures majeures de la peinture contemporaine. Cette rétrospective réunit en effet une sélection de près de 150 œuvres, et propose une lecture chronologique et thématique de son œuvre, à travers une scénographie conçue en complicité avec l'artiste.


«Je n'obéis à aucune intention, à aucun système, à aucune tendance; je n'ai ni programme, ni style, ni prétention. J'aime l'incertitude, l'infini et l'insécurité permanente.»

Gerhard Richter possède la faculté de se réinventer, de se transformer et, à chacun des tournants que prend son travail, il défend une nouvelle vision de la peinture et de l'histoire de l'art.

Il expérimente depuis le début de sa carrière des styles picturaux très différents: après les «photos-peintures», réalisées à partir de photographies au début des années 1960, Gerhard Richter met en place, dans les années 1970, un type d'abstraction où coexistent des grilles colorées, une abstraction gestuelle et des monochromes. Dans les années 1980, il réinterprète de manière érudite et inédite les genres de l'histoire de l'art: portrait, peinture d'histoire, paysage.

Il explore au même moment un nouveau type de tableaux abstraits aux couleurs acides, où les formes gestuelles et géométriques s'entremêlent. Dans les années 1990, l'artiste met au point une technique, qui devient sa signature, consistant à étaler de la peinture encore fraîche à l'aide d'une grande planche en bois ou en métal.

Sa première exposition dans un musée français avait été organisée au Centre Pompidou, en 1977 et «Panorama» célèbre aujourd'hui le 80ème anniversaire de l'artiste.

Le catalogue Gerhard Richter. Panorama est publié par les Éditions du Centre Pompidou, sous la direction, pour l'édition française, de Camille Morineau, commissaire de l'exposition et conservateur au Musée national d'art moderne.

L'exposition organisée par le Centre Pompidou en collaboration avec la Nationalgalerie, Staatliche Museen, zu Berlin, et la Tate Modern, Londres.

 

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/panorama/richter-gerhard/13832.html

29 août 2012

Pilar Albarracin - El origen del nuevo mundo

Depuis L'origine du monde de Gustave Courbet, l'exposition de la génitalité féminine provoque rejet ou désir. Le travail de Pilar Albarracín, quant à lui, ne se positionne pas par rapport à la représentation du sexe féminin en tant que tel, mais questionne et transforme en œuvres d'art de simples culottes, ces objets quotidiens de l'intime.

Gustave Courbet a peint L'origine du monde comme une représentation universelle du désir. La topographie de l'érotique féminin s'élève vers le mont de Vénus avec un réalisme qu'aucun regard artistique n'avait capté auparavant. De l'admiration au scandale, regarder ce tableau était en soi — au même titre que le cacher — un acte considérable. [...]

Pour la plupart des féministes, l'exposition de la génitalité féminine provoque rejet ou désir car elle renverse la norme de ce qui ne doit pas être vu. C'est la raison pour laquelle de nombreuses artistes ont multiplié les représentations du vagin et de la vulve, afin de transgresser ou de transformer la société. L'œuvre de Pilar Albarracín rompt cette triangulation des désirs en questionnant les culottes, ces objets intimes, quotidiens, qui occultent notre sexe, comme l'ont fait tant de tableaux-écrans de
L'origine du monde. Avec la création d'une nouvelle origine, d'un nouveau monde, elle développe un éventail de conséquences subtiles. Remplir un espace de culottes perturbe et provoque un changement dans le regard. Les femmes qui parlent de leurs culottes rompent le silence imposé sur ce qu'elles ont de «plus intime», afin de resignifier ce qu'elles sont et de ce qu'elles ont porté. Leurs culottes, celles de chacune d'entre elles, ont une histoire sociale et individuelle.

Elles s'affranchissent d'une sexualité imposée pour réclamer leur droit au recyclage, à la transformation en œuvre. En s'élevant au niveau de l'Art, et qui plus est en aspirant au sacré, les culottes-mandala définissent une nouvelle cosmologie dans laquelle la solitude des femmes et de leur corps ne serait plus douloureuse. Face au mystère d'une femme universelle, les culottes reflètent la diversité des femmes, de leurs corps, de leurs goûts, de leurs décisions. La circularité comme symbole s'oppose à la ligne entrouverte de la vulve.

Les couleurs se rebellent contre la dichotomie des genres. Chaque forme, chaque choix d'une gamme chromatique évoque une expérience anonyme de désirs assouvis ou oubliés. La spirale sans fin de l'œuvre El origen del nuevo mundo (L'origine du nouveau monde) ne se situe plus à la surface des choses mais dans la profondeur de l'infini.
La transition du quotidien au sacré, où le visible et l'invisible ne sont plus érotisés, bouleverse l'ordre entre l'élévation du regard et le sens du signifiant. Les mandalas synthétisent la nature de ce qui est observé et la multiplicité de ses parties. Ce n'est plus seulement la valeur de l'objet en lui-même qui émeut, mais les expériences sousentendues et juxtaposées au fil du temps. Il a été nécessaire de classer, regrouper les culottes et créer les compositions justes.

Enfin, le fait qu'elles soient cousues met l'accent sur une autre revendication constante de Pilar Albarracín: les techniques de couture et de broderie comme technologies féminines.

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/el-origen-del-nuevo-mundo/albarracin-pilar/13837.html

12 août 2012

Marcel Hanoun - Face à la mer



Une proposition de Morena Campani

«Maricó Valente a osé le cinéma sur les traces de son maître et ami, Marcel Hanoun, et j'ai désiré le connaître. Maricó Valente m'avait présenté le cinéma de façon si simple et naturelle. Grâce à elle j'ai pu donner une forme à mes pensées et mon histoire.
L'invitation de la Galerie du Buisson me permet de vivre une évidence, il me fallait recréer une synergie et un hommage à l'amie, l'artiste, la cinéaste, Maricó Valente décédée il y a 6 ans et qui habitait rue Saint Maur. Comme lorsque de son nid de Capri «Face à la mer», Il me fallait entrer dans la confusion des sons mer/mère. J'ai voulu m'adresser finalement à la racine, à la source, en rassemblent les énergies qui se vivifiaient autour d'elle dans ce qu'elle nous transmettait. Ainsi j'ai invité Marcel Hanoun à exposer ses photos de la mer pour le faire parler de sa mère.

Face à la mèr(e) est un flux, la mise en parole des ressemblances entre l'eau (la mer) et la transmission (la mère). J'ai filmé la polyphonie entre la voix de Marcel Hanoun et celle de la mer dans un désir de réconciliation avec ses racines. Les voix se parlent. Elles se redoublent, parfois se multiplient, s'interpellent, dans une cadence vocale qui fait rituel. Marcel Hanoun plonge profondément dans les mystères de la mer. Et dans l'aller-retour des vagues, le rythme souffle le bruit de «l'amer»: Une berceuse kabyle interprétée par Nora Idir accompagne le mouvement des vagues, tandis qu'un chant judéo-espagnol interprété par Joséphine Lazzarino accompagne celui des passions. Ces chants mettent au présent ce que l'on se force à oublier.

Comme si une stase temporelle avait effacé les ruptures pour trouver une concordance des temps, de tous les temps, jusqu'à une forme d'éternité de l'amour. «Corps-à-corps avec la lumière», dit Marcel Hanoun, et dans ses photos la mer n'est ni rouge, ni jaune. On peut avoir la sensation que l'eau atlantique puisse sortir directement du tube d'aquarelle, comme une source lumineuse ou un flux rayonné par la source. Ce maître du cinéma a décidé de nous montrer la couleur de la mer. Ces photos uniques, tirées en une seule copie, donnent à la mer la couleur de la lumière et, dans la saturation, chaque nuance caractérise un facteur de pureté, qui nous place face à la mer, comme face à la mort.

C'est entre la vie et la mort, entre la terre et l'eau, entre le réel et l'imaginaire que Publia Cruciani, rencontrée pour la première fois dans la maison de Maricò Valente après son départ, met en scène l'installation de Sirènes, poissons et d'autres personnages maritimes. «Sirenomania» est le fond marin où certaines âmes désirent se plonger.»

«Sirenomania», Installation de sculptures de Publia Cruciani & vidéo de Peter Alt.
Vendredi 20 avril, Galerie du Buisson de 18h à 22h: vernissage et soirée hommage à Marico Valente.
Une mise en voix des sculptures sera réalisée par Joséphine Lazzarino et Nora Idir.

 

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/face-a-la-mer/hanoun-marcel/13545.html

30 juillet 2012

Eléonore Nalet, Patrick Norguet - Labels VIA 2011-2012

Décernés chaque année lors des salons professionnels par la commission VIA, les Labels VIA concernent les produits ou collections de produits lancés sur le marché qui appliquent, de façon pertinente et originale, une démarche innovante en terme de matériaux, de technologie, de fonction ou de style.

Afin de favoriser leur diffusion à l'international, les produits labellisés bénéficient de l'ensemble des outils promotionnels du VIA: une exposition et une communication dédiées. Tous les industriels et éditeurs français sont invités à signaler leurs nouveautés auprès du VIA, et ce dès le mois de novembre.
49 Labels VIA 2011-2012
49 Labels VIAdécernés aux nouveautés présentées sur les salons professionnels de l'ameublement et de la décoration de l'année 2011 et 2012.
49 collaborations entre des entreprises françaises et des designers.
49produits ou collections de produits présentés au public dans la Galerie VIA.

source : http://www.paris-art.com/agenda-design/labels-via-2011-2012/seminelli-pietro-norguet-patrick/13693.html

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25 juillet 2012

Aldo Bakker, Humberto Campana - La peur de la couleur

 

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Aldo Bakker, Humberto Campana
La peur de la couleur
25 avril-15 juin 2012
Vernissage le 24 avril 2012
Paris 6e. Perimeter
Maryam Madhavi réunit une douzaine de pièces récentes et inédites des designers et artistes de la galerie Perimeter, choisies pour l'importance de la couleur dans le contexte de leur conception et y ajoute deux de ses dernières créations.

 

           



La peur de la couleur incite à réfléchir sur la phobie de la couleur qui sévie encore et toujours dans les domaines du design et de la décoration et à encourager au contraire public et connaisseurs à reconnaître son potentiel visuel, émotionnel et intellectuel.

La culture occidentale selon David Batchelor, l'auteur de La Peur de la couleur (édition Autrement, 2001), n'a eu de cesse d'assimiler la couleur à un corps étranger, oriental, féminin en même temps qu'elle la reléguait au domaine de l'infantile et du superficiel, la situant à la fois comme un danger majeur et porteuse de valeurs inférieures.

Perimeter propose de se jouer de «ce préjugé extrême» selon David Batchelor, en confiant la mise en scène de cette exposition à Maryam Madhavi, décoratrice et créatrice connue justement pour fusionner dans son travail ses origines perses et françaises et pour jouer sans tabou avec sa part d'enfance et de féminité, y compris pour sa fascination assumée pour l'univers de la mode et des cosmétiques.

Elle déroule la visite de l'exposition sur la métaphore de la vie elle-même — «La vie c'est la couleur» dit-elle — se jouant à chaque étape de la chromo-phobie exprimée par nombre de penseurs occidentaux dont les citations scanderont la visite.
Les confrontations colorielles des pièces d'art et de design se dévoilent au travers d'écrans — Moucharabieh Confession créés par Maryam Mahdavi et selon un scénarion écrit en quatre parties. Se déclinant en différentes atmosphères et tonalités, les quatre tableaux «naissance», «adolescence», «âge adulte», et «confessions ultimes» — se succèderont dans les quatre pièces qui composent la galerie pour former un parcours initiatique, une invitation au monde de la couleur.

 

source : http://www.paris-art.com/agenda-design/la-peur-de-la-couleur/bakker-aldo-campana-humberto/13615.html

17 juillet 2012

l'art contemporain par Laurent Strouk

 

L'expression « art contemporain » désigne de façon générale et globale l'ensemble des œuvres produites depuis 1945 à aujourd’hui, sans tenir compte d’un style particulier ou d’une technique propre. La Galerie Laurent Strouk propose régulièrement de grandes expositions consacrées à l’art contemporain.

 

L’art contemporain se présente sous différentes formes, que ce soit de dessins, de peintures, de sculptures ou encore de vidéos pour enrichir  le monde artistique. Pour s’inspirer, les artistes exploitent des thèmes historiques, politiques, économiques, sociaux, tels que le travail ; mais l’art n’est bien évidemment pas réductible à un thème. Ils s’inspirent également de la vie quotidienne.

 

12 juillet 2012

Katinka Bock, Dora Garcia - This is not a book

 

Katinka Bock, Blaue Stunde Raum, 2012. Livre d’artiste.<br><br>Courtesy Rosascape © Amélie Chassary This is not a book présente l'intégralité des livres d'artistes édités et produits par Rosascape depuis sa création en 2009. Le titre même de cette exposition renvoie au concept du livre comme espace de création et de monstration d'une œuvre à part entière, comme redéfinition totale (et infinie) de la nature même du livre.

 


Le livre – l'objet imprimé – est ainsi pensé comme un dispositif d'exposition en soi, les œuvres ici présentées inventant leurs propres modalités d'installation et de consultation, d'espace et de temps. Chacune des œuvres ouvre un vaste territoire d'expériences visuelles, plastiques, théoriques, littéraires et poétiques ; de matériaux divers comme autant d'entrées possibles pour plonger dans l'univers de ces artistes. Leurs formats hors-normes et les manières dont elles peuvent être différemment activées et exposées inscrivent ces œuvres à la croisée des multiples déclinaisons artistiques explorées d'ordinaire par ces artistes (performance, conférence, installations, dispositifs visuels et plastiques, écrits, éditions, etc.). En guise d'invitation à réfléchir l'objet imprimé, cette exposition aurait pu aussi s'appeler Manifestes pour un non-livre, pour préférer donc à l'idée du livre celle d'un espace en mouvement, d'un laboratoire des formes et des idées.

Katinka Bock, Blaue Stunde Raum, 2012
Blaue Stunde Raum est une édition que l'on aborde comme une sculpture en papier : sculpture qui invite le public à manipuler, à déployer dans l'espace les paysages urbains que renferme cet objet. Cette édition de huit monotypes trouve son origine dans une installation que Katinka Bock a réalisée pour son exposition à Rosascape entre décembre 2011 et février 2012. Katinka Bock a recouvert de peinture bleue les huit fenêtres d'une des salles d'exposition. Sur cette couche de peinture, l'artiste a disposé divers fragments de végétaux, morceaux de cartons, débris et rebus provenant de la rue : des fragments comme traces et mémoire de l'espace urbain, comme empreintes d'un paysage et d'une temporalité.

Fabien Giraud, Le la mort, 2011
Le La Mort est une œuvre constituée de quinze fragments qui se présentent sous la forme de livres. Chaque ouvrage est coupé en son milieu par un second livre Metaxu contenant le texte d'une conversation entre Fabien Giraud et Vincent Normand. Ce livre s'inscrit dans le projet d'exposition de Fabien Giraud Du Mort Qui Saisit Le Vif (la maison du dehors); une exposition polymorphe dont tous les éléments participent d'une même physique.
Une première étape de cette exposition a été présentée à Rosascape du 28 novembre au 3 décembre 2011

Dora García, Mad marginal / Les archives, 2011
Traitant de la marginalité comme d'une position artistique et politique, Dora García s'intéresse aux différentes significations qu'une telle position peut recouvrir ainsi qu'à la contradiction et à la beauté de l'artiste comme figure marginale. Ses recherches ont démarré avec la lecture de textes écrits par le psychiatre et essayiste italien Franco Basaglia, elles incluent également des textes de penseurs et d'intellectuels tels que Fernand Deligny, Michel Foucault, David Cooper, Ronald David Laing ; des écrits d'écrivains et d'artistes tels que Jack Smith, Antonin Artaud, Lenny Bruce, James Joyce, Italo Svevo, Robert Walser, etc.
Le livre d'artiste s'inscrit en parallèle du projet éponyme sur lequel Dora García travaille depuis 2009. Sous la forme d'une boîte d'archive, ce livre d'artiste rassemble 27 documents (textes, photos, dvd, cd, emails, entretiens et conversations, livrets, etc.) ayant nourris la recherche de Dora García pendant ces deux ans. Ces documents sont ici reproduits à l'identique sous la forme de facsimilés.

Benoît Maire, Esthétique des différends, 2011
Esthétique des différends (projet entamé en 2008) est un livre d'artiste qui documente la recherche en cours de Benoît Maire sur le «différend» - concept emprunté au philosophe Jean-François Lyotard. Le livre, produit en série limitée (25 exemplaires en français et 25 exemplaires en anglais, imprimés sur papier Cyclus, numérotés et signés), se présente dans une boîte entoilée spécialement conçue pour ce livre. Il s'agit d'un work-in-progress comprenant à ce jour (janvier 2011) huit cahiers de seize pages chacun. Cet ouvrage constitue une œuvre d'art en soi, doublée d'une recherche philosophique et artistique sur les questions essentielles que sont la postmodernité et la signification de l'œuvre d'art post-conceptuelle.

Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Images Latentes, Journal d'un photographe, 2010
Troisième volet du projet Wonder Beirut, 2010.
Le livre Images Latentes – Journal d'un photographe rassemble trente huit planches photos sélectionnées parmi les centaines de pellicules prises, et jamais développées, par le photographe Abdallah Farah entre 1997 et 2006. Ce livre de 1312 pages publié en tirage limité – deux éditions de soixante quinze exemplaires numérotés ...

source : http://www.paris-art.com/agenda-design/this-is-not-a-book/joreige-khalil-giraud-fabien/13740.html

 
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